Cliquez ici pour voir la version web

LES FACES CACHEES DU COCA COLA
Article inspiré à partir du reportage de Olivia Mokiejewski, journaliste de 
France 2, instigatrice de la "Collection  documentaire de L’Emmerdeuse".

Le Coca Cola, c’est officiellement  de l’eau gazéifiée plus du sucre plus des 
aromes naturels qui sont des extraite végétaux…..mais lesquels, et c’est là le 
nœud du secret. A chaque instant, près de 80 millions de personnes dans le 
monde ouvrent une bouteille de coca cola ; chaque jour, la société vend 2 
milliards de boissons.

Atlanta c’est la Mèque du Coca cola et le musée mondial de cette boisson, là où 
le PDG détient la formule secrète dans un énorme coffre fort. Olivia 
Mokiejewski s’y est rendue. A Atlanta tout le monde consomme cette boisson 
emblématique, et se fiche pas mal d’en connaitre sa formule. Contrairement à ce 
qu’affirment certains sites, aucune analyse n’a permis jusqu’ici de décrypter 
la composition précise du produit actuel.

HISTORIQUE  DU COCA COLA
C’est à Colombus que tout a commencé en 1886 avec un pharmacien nommé John 
Perbenton qui, passionné de sodas, en a inventé de nombreuses formules à visées 
thérapeutiques. Précisément, il est parti d’une boisson française à l’époque à 
la mode "le vin Mariani" qui contenait en l’occurrence de la cocaïne (à 
l’époque c’était légal). Or, il faut savoir que John Perbenton ayant fait la 
guerre de Sécession, trainait de vieilles blessures douloureuses et avait dû 
s’abonner à la morphine, qu’il remplaça par la suite par d’autres drogues anti 
douleurs moins dangereuses. On ne s’étonnera donc pas de trouver dans un 
article du journaliste Charles Solter publié en 1979, la recette originale 
manuscrite de l’inventeur remontant à 1910, qui incluait de la cocaïne. Le nom 
de baptême COCA COLA  de ce soda signifie d’ailleurs clairement qu’il est à 
base d’extraits de feuilles de coca et noix de cola, et il a été vendu des 
années durant en pharmacie en tant que médicament à usages multiples (anti 
douleurs. anti anxiété…).

Mais depuis, la formule a été très souvent remaniée, et la question carton 
rouge est : y a-t-il toujours oui ou non de la cocaïne dans le coca cola ? Les 
milliards de consommateurs de coca cola, les enfants y compris, sont-ils des 
cocaïnomanes qui s’ignorent ?

Au port de New Jersey, une compagnie reçoit discrètement de la Bolivie et du 
Pérou de grandes quantités des feuilles de coca. Or cette importation n’est 
autorisée qu’à l’usage de la pharmacie… et de Coca cola. Ces feuilles sont 
traitées par une usine spécialisée : la Stepan company qui bien sûr en extrait 
la cocaïne pour la pharmacie, mais le mystère reste entier concernant Coca cola 
– en bref, quel est la véritable nature de l’extrait de coca, sachant que la 
cocaïne a été interdite dans les sodas en 1906 ? C’est cette même compagnie qui 
livre à l’usine Coca cola les barils de concentrés, protégés de grilles et 
marqués DANGEREUX – CORROSIF, le travail de la maison mère ne consistant qu’à 
diluer le "mystérieux concentré" avec de l’eau, et de le conditionner.

INTOXICATION AU SUCRE
La Californie où 40% des autochtones sont en surpoids ou obèses a déclaré la 
guerre aux sodas. Aussi, il y est maintenant interdit de vendre des boissons 
sucrées dans les lieux publics et les écoles. On y diabolise les sodas surtout 
auprès des jeunes. Dans ½ litre de coca cola, il y a l’équivalent en sucre de 
16 sachets de bistrot. Un américain boit en moyenne 170 litres de soda par an, 
ce qui correspond à 20 kg de sucre.

Dans les fast food américains, les verres d’eau servis sont de petite taille, 
alors que les verres de Coca cola font 75 cl, et les commandes des verres 
suivants sont gratuites. Cela c’est pour pousser à la consommation. Plus les 
jeunes sont pris tôt, plus ils seront accros et plus ils auront de chance 
d’être obèses. C’est la première fois qu’une nouvelle génération risque de 
durer moins que ses parents. Il y a 50 ans, on buvait en moyenne 4 verres de 
coca cola par an. Aujourd’hui, les sodas remplacent l’eau – Les sodas sont la 
première source de calories des américains (mauvaises calories idem celles de 
l’alcool). De plus, tout ce sucre acidifie l’organisme et le met en terrain 
acidose, source de nombreuses maladies inflammatoires.

Selon un spécialiste mondial de l’obésité, chaque cannette métallique de coca 
cola contient 39 g de sucre, ce qui équivaut à 10 cuillères à café bombées. Je 
vous conseille  de faire l’expérience de mettre 10 cuillères à café bombées de 
sucre dans une assiette pour vous rendre compte. Beaucoup de personnes 
consomment 2 cannettes de coca par jour, ce qui donne 20 cuillères à café de 
sucre… Pauvre pancréas !!!  Le sucre est classé drogue douce ; mais il n’en 
crée pas moins une addiction. En particulier,il affecte une zone de récompense 
du cerveau, la même zone que pour la cocaïne, la nicotine, les amphétamines, 
l’héroïne, la morphine. Plus on en consomme, et plus la dopamine du cerveau en 
redemande pour obtenir le même bien-être ; cette escalade est bien sûr suivie 
d’une lente descente aux enfers…..

Sur les enfants, c’est un désastre. Dans les cliniques pour obèses, on trouve 
des enfants de 8 à 10 ans avec des taux de lipides à la hauteur de ceux de 
sexagénaires. Ces enfants sont atteints de maladies de la gérontologie et 
présentent déjà du diabète type 2. Ils vont perdre 20 à 30 ans de vie. Ils 
périront soit par attaque cardiaque, soit par AVC, soit par cancer, soit par 
gangrène, ou tomberont dans la démence. A l’ile Maurice, 70% des autochtones 
sont diabétiques. La raison en est simple, ils grignotent toute la journée des 
sucreries et consomment des boissons sucrées (sodas, coca cola….) pendant et en 
dehors des repas. Dans les hôpitaux, on ne cesse de couper des doigts et des 
orteils atteints de gangrène, sans parler des cas de cécité partielle ou totale 
se développant avec l’âge.

Alors me direz-vous, il y a une échappatoire avec la solution LIGHT (sans 
sucre). Là c’est tomber de Charybde en Scylla, car l’indispensable édulcorant 
qui a été sélectionné pour compenser l’amertume, c’est l’ASPARTAM, cette 
dangereuse excitotoxine qui a été mise au point dans le cadre silencieux de la 
guerre chimique, et qui sucre 180 fois plus que le saccharose. En dépit d’un 
dossier plus qu’alarmant avec 92 effets secondaires répertoriés, après 6 années 
de refus d’AMM par la FDA américaine, l’autorisation a été forcée politiquement 
par le sinistre Ronald Rumsfeld, et adoptée ensuite dans 90 pays, on suppose 
sous la pression de l’OMC !
(voir tous les détails dans « Prenez en main votre santé » tome 3 – Ed. Guy 
Trédaniel)

LE COLORANT CARAMEL
C’est le E150 B chimique qui donne la couleur caractéristique au Coca cola. On 
obtient la couleur caramel à partir du sucre (encore lui) que l’on traite à 
l’ammoniaque puis avec divers acides sous haute pression. Ces opérations peu 
sympathiques génèrent de nouvelles molécules dont l’une s’appelle la 4MI qui a 
été démontrée cancérigène chez les animaux… Le scientifique américain Mike 
Jacobson dit que pour l’homme, cette molécule génèrerait plutôt des leucémies. 
Ce risque juste pour un colorant, cela ne parait-il pas déraisonnable ?
En Californie, ce colorant est très controversé, aussi cet état a obligé Coca 
cola et Pepsi cola à en réduire le dosage à 29 microgramme par litre. En 
France, on tolère sans état d’âme 79 microgrammes. Dans le Coca light la limite 
du colorant est multipliée par 3.

MORALITE
L’affaire Coca cola présente une étrange similitude avec celle des vaccins : 
l’omerta sur les compositions incite à penser qu’ils contiennent tous les deux 
des choses peu avouables, et donc qu’il y a  présomption de malveillance face à 
la santé publique - sinon pourquoi tant de secrets? Mais au-delà des dangers 
plus ou moins connus sur la santé, il est permis d’imaginer pire encore, avec 
des technologies avancées incluses et indétectables telles que l’introduction 
de nanotechnologies programmées visant à contrôler le cerveau des 
consommateurs… mais peut-être je dérive dans la parano ?!!!

En attendant, moi j’opte délibérément pour le coup de rouge en mangeant, une 
valeur sure avec des millénaires de recul ! Quand j’ai soif, je bois de l’eau 
comme tous les animaux, ou bien des jus de fruits, et pas des mixtures au goût 
de pharmacie, et que l’on apprend aux gens à apprécier parce que c’est le 
dernier cri de la modernité.

NOTA : Un comble au Mexique, champion du monde de la consommation de Coca cola, 
celui – ci coûte moins cher que l’eau à quantité équivalente : 7 pesos le litre 
contre 8 pesos pour l’eau !








Ne manquez plus une seule news, souscrivez gratuitement à notre flux RSS et 
restez informé(e) dès que nous envoyons une campagne. Cette option vous est 
désormais ouverte si vous préférez les flux RSS aux courriel (ou même les deux).
Pour cela, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessous et de suivre les 
instructions.




Vous recevez ce message parce que vous êtes inscrit à la Lettre de Michel Dogna.
Merci d'enregistrer notre adresse comme expéditeur autorisé afin de continuer à 
recevoir nos courriels. 
Si vous désirez ne plus recevoir de courriel, désinscrivez-vous ici

Reply via email to